Gaston Auger, Fusilier Mont-Royal

Gaston Auger : enrôlé à 16 ans, prisonnier de guerre à 17

Gaston Auger, ex-soldat des Fusiliers Mont-Royal, n’a jamais connu l’adolescence. Enrôlé à 16 ans, il fut sans aucun doute l’un des plus jeunes prisonniers canadiens de la Seconde Guerre mondiale, à l’âge de 17 ans. Soixante-dix ans plus tard, il n’oubliera jamais la journée du 14 août 1944.

Fin de la tuerie. Début de la vie

"Cinq jours ont passé depuis que le Navire SS Ranchi a quitté Liverpool. Que d’événements se sont produits depuis mon départ. Avec tristesse et déchirement, j’ai quitté Marie restée à Londres le 29 avril 1945 afin de revenir au Canada." Par Gilbert Boulanger, DFC.

Yvon Robert, sergent des Fusiliers Mont-Royal

"Le 5 novembre 1942, Yvon Robert revêtait son uniforme des Fusiliers Mont-Royal pour la première fois, afin d’accueillir à Montréal l’ancien et toujours fort populaire champion du monde à la boxe Jack Dempsey, lui-même lieutenant dans la Garde côtière américaine." Un texte de Pierre Vennat.

Nouvelle parution : J’ai survécu au Débarquement

Enrôlé volontairement en septembre 1941, Germain Nault est envoyé en Angleterre après un entrainement des plus exigeants au camp de Valcartier, près de Québec. Après le tristement célèbre Débarquement de Normandie, il prend part aux différentes campagnes alliées, en support au Régiment de la Chaudière.

La triste fin de Jean-Paul Archambault.

"Quelques officiers canadiens-français, membres du SOE, ont servi en Asie derrière les lignes japonaises, après avoir fait de même en Europe. L’un d’eux, le capitaine Jean-Paul Archambault, y a même laissé la vie." Par Pierre Vennat.

Lettre à mon grand-père, Louis-Philippe Leblanc

"Cher grand-papa, Je t’écris cette lettre pour te donner des nouvelles de la Normandie." Lettre de Dominic Perreault à son grand-père Louis-Philippe Leblanc, private E-6218, compagnie “C” du régiment de la Chaudière.

Gustave Biéler

Torturé par les Allemands pendant sept mois, le major Gustave Biéler avait tellement émerveillé les Allemands par son courage que lorsqu’ils le fusillèrent, en septembre 1944, les SS lui rendirent les derniers honneurs.

Une rencontre improbable

C’était en mai 1945 - fort probablement le 8, jour de la cessation des hostilités en Europe - que deux hommes, inconnus l’un de l’autre mais ayant des racines anciennes ancrées dans la même région de France, se sont rencontrés quelque part en Allemagne du Nord.

Ils ont tué Heydrich

"L’opération s’appelait « Anthropoïd ». Elle visait l’homme le plus ­puissant du IIIe Reich, le chef des services secrets nazis, planificateur de la « solution finale », nommé par Hitler à la tête de la Bohême-Moravie (la Tchécoslovaquie)..." Selon Paris-Match.