De la patience et de l’huile de bras (2 de 2)
"Étant donné que François possédait déjà trois GMC, il a choisi celui qui était suffisamment en bon état pour circuler sur les routes du Québec. Il faut comprendre qu’avec des camions datant des années cinquante, à plus fortes raisons avec nos conditions hivernales qui exigent l’emploi de grandes quantités de sel pour déglacer les routes, l’état des véhicules militaires que nous récupérons laisse souvent à désirer alors que la rouille profonde se loge un peu partout sur la mécanique et la carrosserie."